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Flore |
Voir Vie. Quelques plantes de l’Aire humaine : Astérale, Chêne-verme, Oravier, Anandier, Cerisanier, Chivre, Citrulle, Cucume, Escarbier, Fripefeuille, Calfin, Gemmifère, Hélis, Ipis, Marquisan, Mégaficus, Mélongine, Pin-pavillon, Tensias, Urtie. Quelques plantes de l'Aire chile : Elasme, Gibb, Odont, Hee, Huméa, Irmensul, Kizlian, Thord, Sazdeïr. Quelques plantes de l'Aire hodgqine : Hawthf'eem, Loasjireil, Lietnu'eel, Enalareem, Rezeilreem, Wreeseil, Yiel'eem, Zeil. | ||
Hodgqin |
Une des trois rehs majeures d’Omale. 1) Morphologie : De taille comparable à celle d’un être humain, les Hodgqins sont bipèdes dont les jambes, ou pèdes, sont articulées à l’envers. Dotés d’une tête brachycéphale au visage plat, et de trois paires de bras (antérieurs, médians, postérieurs) de force différente, à trois points d’articulation prenant au milieu du tronc, prolongés d’une main crochue à double-doigt (un avant-doigt et un arrière-doigt) ; visage parfaitement symétrique, doté de narines situées à la base du cou (trois paires d’évents) et de quatre pédoncules oculaires ; peau couverte de squames ou qm'eels ; à l’image de leurs sociétés, grande stabilité mais peu de variété morphologique entre les individus. 2) Physiologie : Trois hémicardes font office de cœur ; le cerveau n’est pas centralisé, mais des groupes neuroniques se répartissent dans les sections corporelles en ganglions cérébraux hiérarchisés, qui grossissent ou s'atrophient en fonction de leur activité psychique. Celle-ci est tributaire de l'occultation, ou qwee'm. Les os, à forte proportion de silicate d’aluminium, sont dépourvus de moelle mais contiennent des groupes de cellules-souches intervenant dans le métabolisme, et 60% des ganglions nerveux. Le corps est froid en surface. Les toxines s'évacuent par les squames lors de l'ijdeen, équivalent de la transpiration. Les Hodgqins sont trisexués (mâle, femelle et tuteur) ; leur ARN ne possède pas de squelette carboné, mais se code dans des micro-cristaux. L’alcool est un poison violent (les guerriers se frottent les écailles à l’alcool pour les durcir et les transformer en cuirasse, ou pour des scarifications). En usant d'une drogue interdite, certains Hodgqins deviennent des shadlees immortels. 3) Culture : Les Hodgqins s'inscrivent dans un système clanique complexe codifié par le yazdee'hr, l'un de ces codes consistant à peindre ses squames (loasjireil). L'art majeur hodgqin est le yædjeen, ou art des kaléidoscopes. Voir également : ajkidje, gwilumes. | ||
Loasjireil |
Arbuste de l'Aire hodgqine, dont le feuillage vaporeux est traditionnellement utilisé comme pinceau par les Hodgqins pour peindre leurs squames. Le mot désigne le pinceau lui-même. | ||
Qm'eels |
Écailles charnues qui recouvrent la peau des Hodgqins et forment leur épiderme. Leur forme et leur taille varient en fonction de l'endroit du corps (il y en a 18 sortes), mais les plus courantes sont rectangulaires et se chevauchent à la manière de tuiles. Les Hodgqins aiment à se les peindre (loasjireil). Nom humain : squames. | ||